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Dawny

3 janvier 2009

Hen niw tee sam

Ça va faire deux semaines qu’un de mes profs me harcèle.

Non ce n’est pas sexuel, et j’en viens même à le regretter parce que la ce serait vite réglé. Il me soule avec un truc que j’ai déjà eu le malheur de gouter le semestre dernier : « The speech contest »

Ha. Yeah.

Un nom je-te-tape-dans-ton-œil pour parler d’un concours ou des jeunes font des discours devant un jury de professeurs étrangers.

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Le semestre dernier, j’ai été inscrite je sais pas trop comment (ah ça a l’air bien, un truc d’intello, ouais vas-y rajoutes moi a la liste si tu veux) et je suis arrivée vers les quart de final en sachant encore moins ce qui se passait. C’est quand on m’a dit « Niveau régional, puis national, puis télé » que j’ai commencé à flipper.

Bon, je baragouine pas mal d’anglais, c’est un don de naissance, merci maman, merci papa, mais je suis loin de me sentir de niveau à aller bégayer a la téloche.

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Déjà pour les qualifs, j’ai fait un effort alors qu’y avait des gens, et puis c’était sur scène, et y avait même un micro, mais en plus y avait des gens. 

Alors quand j’ai su qu’en plus y aurait des cameras hein…

Me suis donc retirée du concours avec toute la magnificence qui me caractérise : au moment de monter sur scène et de parler, j’ai pas pu ouvrir la bouche. Et je crois que je les ai insultés de mon silence. J’en garde un magnifique souvenir d’ailleurs, j’ai vu les visages de mes profs se décomposer au fur et mesure que le temps limite s’écoulait.

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Voila donc pour le semestre dernier. Je pensais donc avoir été assez odieuse claire sur ce que je pense de ce coup de projecteur qu’on m’avait infligé.

Et voila t-y pas que quelques jours après la rentrée, le même prof vient me souler avec le même truc… -_- ?

Mais attention, cette fois il a un argument du feu des dieux (oui je mets « dieux » au pluriel, c’est pour pas me fâcher avec l’un d’entre eux, comme dirait l’autre)

« Mais cette fois c’est en français, t’es sure de gagner ! »

Hein ?

La je vous avoue que j’ai eu un petit doute et… nan, c’est pas une blague ?

Attends, si je comprends bien il veut qu’une piotte qui a grandi en France, qui a la nationalité française, qui a passé 12 ans à parler français et qui maitrise mieux cette langue paternelle que le thaï maternel aille concourir avec des jeunes qui ont fait que maximum 2 ans de français ? C’est pas un peu comme écraser des fourmis avec le derrière d’un éléphant ? (appréciez l’image) (je suis très fatiguée)

« Mais c’est pas grave ! Ils savent pas que t’es a moitié française, en plus t’utilise ton nom thaï ils peuvent pas deviner ça sur ton visage »

Oui, j’utilise le nom de jeune fille de maman et mon deuxième nom thaï. Et c’est vrai que si on regarde pas bien on ne peut pas voir que je suis métisse, mais… mais ça va pas être possible, c’est même plus de la triche a ce niveau. C’est du foutage de gueule. Autant pour l’anglais j’étais plus ou moins partante même si j’avais un p’tit avantage mais ça restait correct, autant pour le français je trouve ça minable.

« Non mais je peux pas, toute façon ça va s’entendre : j’ai pas d’accent en français »

« Comment ça t’as pas d’accent en français ? Mais tu peux pas en imiter un ? »

_piethrow__by_de_moteTu l’as vu mon majeur, sensei ?

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Et ils ont quand même essayé de m’appâter avec le « Y a de l’argent a gagner » Et ben raison de plus pour que ce soit une autre piotte qui tente sa chance, non ?

Je suis une mauvaise perdante mais c’est quoi le but de gagner si on sait qu’on peut pas perdre ? Je suis mauvaise perdante mais y a des limites. Et je refuse de m’abaisser a tricher sur un truc qui est sensé être éducatif. Je trouve ça pathétique de participer a un concours juste pour faire connaître le nom de l’école. Oui parce que c’est ça le vrai but, faut pas se leurrer, les trucs genre « Ça te permets de te prouver a toi-même que tu as le niveau, ça va ajouter une expérience de plus qui t’enrichira etc » ça marche pas avec moi, je suis la depuis 2 ans, et chuis loin d’être conne.

Je dis pas que je déteste mon école (même si je pourrais hein, sauf que la vous avez pas encore assez d’infos dessus vous allez me dire que j’abuse) Mais c’est juste que veux pas les aider, pas pour ça, pas comme ça.

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3 janvier 2009

Premier challenge

Deuxième fic-challenge, mais cette fois c’est un 3 en un. Y avait une crevarde qui m’a donnée la première phrase, après mon cerveau dérangé a trouvé  la deuxième, pour les relier.
J’ai donc commencé a écrire avec les deux la en tête, et puis au fur et a mesure, j’ai réussi a caser en caser une troisième et la j’suis vraiment fière de moi parce que depuis le temps que cette metaphore des rivières noires me touillouille dans la tête !

 

Donc voila, chuis contente pour toute la journée ^__^

Bonne lecture a tous !

Café des soupirs, 17 h 16, vers la mi-automne

 

Le café est tres faiblement éclairé, les ampoules sont fatiguées.

Dehors il pleut, c’est tout gris, mais c’est normal ; c’est l’automne.

A l’intérieur il fait bon et ça sent le café et le sucre.

Ou le café au sucre. Ca dépend de comment on l’aime.

Les quelques clients sont au comptoir, en train de se raconter les dernières nouvelles de la ville dans des conversations qui se mêlent au bruit de fond.

Un joli bruit, qui sonne plus comme des murmures, qui pourraient bercer tout doucement, pour qu’on s’endorme comme le gros chat sur l’un des divans.

Mais le chat vient d’être réveillé.

Par la personne qui vient de pousser la porte en faisant tinter la petite clochette plus fort que d’habitude.

On pourrait croire que c’est a cause du vent, le vent de l’orage dehors qui a claqué la porte, mais le geste de la nouvelle venue était trop volontaire pour passer inaperçu.

Et pourtant il passera inaperçu.

Personne ne se soucie vraiment d’un porte qui claque, ni d’une jeune fille toute tremblante qui vient sûrement s’abriter de la pluie.

Jusqu'à ce qu’elle aille s’asseoir a une table du fond et ne brise cette atmosphère endormie, lorsque la serveuse viendra prendre sa commande :

 

- Donnez moi un cercueil.

- Excusez moi mademoiselle ?

- Donnez moi un grand verre de cercueil.

- Je suis vraiment désolé, mais je ne suis pas sur de connaître ce cocktail.

- C’est pas bien compliqué ! Vous prenez un grand verre, et vous mettez tous les alcools qu’il y a dedans.

- Mais… mademoiselle, ça va être imbuvable !

- Ah oui ? Bah alors vous avez qu’a rajouter beaucoup de sirop de menthe dedans, ça fera passer le goût.

- Mais, je…

- Donnez moi un cercueil !

 

¤

 

Un éclat de voix me fait lever les yeux de mon livre.

Qui est mort ?

J’ai cru entendre que quelqu’un demandait un cercueil…

Je secoue la tête, c’est toujours comme ça a chaque fois que je lis un Stephen King, je suis tellement dedans que j’entends des trucs bizarres.

 

¤

 

- Je suis majeure ! je peux boire ! Est-ce qu’il faut que je vous montre ma carte d’identité pour que vous me serviez a boire ?!

- Non, mais mademoiselles je ne suis pas sure que ce soit raisonnable

- * sanglots * Mais pourquoi tout le monde me fais chier aujourd’hui ? Vous ne croyez pas que je souffre déjà assez ? Faut en plus qu’on me pourrisse la vie ? * pleurs * Donnez moi un putain de cercueil, que je puisse enterrer la douleur…

 

¤

 

Cette fois je me retourne, intrigué.

« Un cercueil pour enterrer ma douleur ? »

Une fille la bas.

Seule a une table du fond.

La faible lumière éclaire un peu son visage.

La lumière est faible et pourtant elle arrive à jouer les ombres sur les joues de l’inconnue.

Je vois qu’elle a un joli visage.

Elle fait un mouvement de la tête et m’offre son profil.

Je vois les longues traces noires qui descendent de ses yeux.

Je détourne le regard.

 

¤

 

Je retourne à mon livre, pour essayer de me persuader que ce n’est pas un pincement que j’ai ressenti au niveau du cœur.

 

¤

 

Mais cette fois, je ne suis pas dedans.

Je ne sais pas vraiment pourquoi.

Peut être parce que mes yeux se posent sur les lignes sans parvenir à les lire.

Peut être parce qu’a présent j’entend le murmure d’un sanglot me parvenir du fond de la salle, alors que je ne l’entendais pas quelques minutes auparavant.

Peut être parce que des fois un murmure peut être tres bruyant.

Peut être parce que j’ai envie de voir de quelle couleur est la source d’où coule les rivières noires que j’ai appercu.

 

¤

 

Je referme mon livre et me lève sans vraiment m’en rendre compte.

Mes pas m’amènent vers le fond de la salle pendant que une de mes mains plonge dans ma poche pour en sortir un paquet de mouchoir dont j’ignorais jusqu'à la l’existence.

 

¤

 

A SUIVRE * peut être ? *

Bon alors j’ai déjà écrit une petite suite. Mais j’ai presque tout un scénario dans la tête. Le problème c'est que je manque de temps. Donc va me falloir de la motivation. Dites moi si ça vaut la peine de d’un faire quelque chose de concret. Et la je verrai ce que je peut faire ^__-

3 janvier 2009

J'ai lews crocs et je me les brosse

J’ai une très vilaine manie : j’adore grignoter. Surtout des trucs sucrés. Surtout au milieu de la nuit.

Et ça même si j’ai fait un très gros diner il y a a peine une heure. Ça arrive quasiment tout le temps après 21 heures et c’est encore pire si je me pose devant la télé. J’ai cette envie incontrôlable d’avoir quelque chose en bouche et c’est pas bien.

Vous allez me dire que la solution serait de me coucher juste après le repas. J’y ai pensé et  je fais ça quand c’est la semaine, c’est pas très dur vu que je me lève a 4 heures du matin. Mais sinon le week end, je fais quoi hein ? Je peux quand même pas me coucher sans avoir entendu les deux Eric cracher sur les bouquins et l’actualité tout de même.

Et puis j’aime trop la nuit.

Me fallait donc une autre solution, et celle-ci est arrivée comme ça, comme on allumerait une ampoule. Et la en l’occurrence, c’est celle de la salle de bain.

Depuis quelques jours, j’ai trouvé un remède vachement efficace : l’aseptisation buccale.

Pour perdre pas prendre du poids, brossez vous les dents quand vous avez envie de grignoter un truc. Je sais pas si ça marche mais en tout cas c’est moins traumatisant qu’un régime. Le fait de se nettoyer les dents va vous couper l’envie de manger, puisque vous avez la bouche bien propre et que de toute façon, bouffer un truc tout de suite après s’être brossé les dents, c’trop horrible.

Et ça marche encore mieux si vous avez du dentifrice hyper mentholé, histoire de bien décourager vos papilles gustatives et accessoirement éradiquer tous les vilains microbes. Car je vous rappelle que un des endroits les plus sales du corps humain c’est les poils la bouche.

Et j’ai très envie d’une coupe de crème glacée avec un Himalaya de Chatilly.

3 janvier 2009

Cupidon est un terroriste

J’ai une mini lame de cutter dans mon porte feuille, dans le petit endroit ou on met les pièces. Non, chuis pas emo, c’est juste une recharge d’un stylet pour faire de la sculpture sur fruit (oui j’ai des cours trop fun) que j’avais glissé dedans pour pas la perdre.

Tous les matins je la frôle du bout des doigts quand je dois sortir mes pièces pour payer le bus. Je risque de me couper au moins deux fois par jour. Et pourtant ça n’est pas encore arrivé. 

Pas encore.

Le pire c’est que je ne la vois jamais, cette petite lame, jamais quand je fouille pour trouver les pièces. C’est seulement après que je la vois, au moment de refermer le portefeuille. C’est seulement après que je me dis que je devrais penser à la retirer.

Je l’ai toujours pas fait.

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C’est juste un exemple pour vous montrer une partie de ma personnalité que je déteste, parce qu’elle m’a déjà fait perdre beaucoup de choses. Le simple fait que je garde cette petite lame est la preuve que je n’apprends que par mes erreurs. Vous me diriez de la virer, cette petite chose qui risque de me saigner tout les matins, et je vous donnerai raison. Mais je suis [] têtue [] inconsciente [] stupide (vous pouvez cocher les trois si ça vous chante) parce que je suis du genre a ne pas écouter les gentils conseils que les gens et/ou la raison me donne.

Tant que certaines choses ne me font pas mal, je ne m’en méfies jamais.

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Ce n’est qu’a petite échelle ça, une coupure c’est rien. Ça se soigne facilement. Le problème c’est que ça s’applique aussi à une chose bien plus dangereuse… ça s’applique aussi a ma façon d’aimer. Enfin ça s’appliquait.

Enfin je croyais.

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Je cherchais la blessure en me lançant dans des trucs impossibles. En m’y accrochant de toutes mes forces. Même quand je vois le mur, je continue de foncer. Les « Putain mais tu vois pas que c’est perdu d’avance ? » et autres « Franchement je te croyais moins conne » ça ne me fais pas reculer, ni même ralentir. Je continue de courir vers le mur, en faisant comme si je ne le voyais pas. C’est seulement quand je me le prendrai en pleine face et que je m’arrêterai.

C’est comme ça que j’ai vraiment compris l’expression « en mille morceaux »

J’ai essayé d’en récupérer le plus possible et j’ai tourné le dos à ce mur, à l’amour, en jurant que jamais, jamais je ne me referais du mal. Plus jamais comme ça.

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J’ai passé tellement de temps à fuir l’amour en pensant que plus j’avancerai, moins je risquerai de me faire attraper. Aujourd’hui je me rends compte que je suis loin d’avoir ma longueur d’avance, que c’est accroché à moi comme une ombre. Aujourd’hui tout ce que je sais c’est que Cupidon est un enfoiré de sa race.

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Et que j’ai toujours peur d’avoir mal.

En deux ans rien n’a changé, je suis toujours un cœur de verre sous une couche de béton armé.

3 janvier 2009

Welcome

Chose promise chose due ! Après avoir gratté le sol a coup de brosse a dent métallique empilés des trucs dans la chambre d’amis (déplacer le bordel au lieu de ranger pour de vrai, c’est une autre de mes techniques ninja) Ma chambre est enfin présentable, oui oui.

Alors on retire ses chaussures dans le genkan et on suit le guide.


Ma chambre se divise en deux parties. Les photos sont prises sur le seuil de la porte. Tu tournes la tête a droite, y a le lit et le coin bureau. Tu tournes la tête a gauche, y a le coin plus ou moins bordélique. Et comme vous êtes courageux, on va d’abord aller à gauche.


1.     L’étage qui fait de la couleur. Ma collection de bouteilles dont je reparlerai dans un prochain « j’ai testé pour vous » (non je ne suis pas folle, en plus c’est joli)

2.    L’étage qui fait bien. J’ai réussi à voler des livres de la bibliothèque de papa. Parce que ça me rassure de pouvoir remplir au moins une étagère a moi avec des vrais livres en français dessus.

3.     L’étage so girly. Parce que je suis une fille. Mais pas trop. Si on regarde bien il n’ y a ni maquillage ni parfum… juste de la crème. Parce que je suis une grande tartineuse de lait hydratant et autre monoï qui sentent bon.

4.     L’étage-camouflage. A gauche, mes cours actuels (que je lis pas) A droite, Winnie qui cache ma *vraie* Boite de Pandore. Elle juste est derrière.

5.     L’étage des lectures pas toujours saines. A gauche, des magazines plus ou moins scientifiques. A droite, les lettres de France.


Mon encyclopédie nomade date de 2006 tout de même. Comme les bagages sont limités a 20 kilos et que je lui commande déjà 10 kilos de chocolat mon père doit apporter environs 7 livres par an.


Mon haut de pyjama. J’ai jamais su ou était le bas.


Oui, y a eu une époque où j’en jouais. Depuis les partitions prennent la poussière dans un classeur mais je vous jure que j’en jouais !


Ce mur fait face à mon lit. Une fois que  j’éteins la lumière, ils deviennent fluorescents. C’est dommage que vous ne voyiez pas mais contre le mur, c’est un mini lustre trop mignon.


Mon coin bureau. Ce qu’on voit :

-         La télé. Que j’allume rarement.

-         Le premier bureau avec Tedy sur la chaise devant le clavier.

-         Néo, mon mac (le truc blanc, la, près du clavier) qui me sert strictement a rien vu que je suis toujours sur le laptop.

-         Mes livres de cours particuliers, que je m’efforce de mettre sous le nez pour au cas où j’aurai un jour envie de les ouvrir.

-         Mon deuxième bureau hyper grand (on peut diner à trois dessus. True story) qui normalement me sert a travailler/dessiner/écrire/mettre du vernis sur les ongles de pieds.

Ce qu’on ne voit pas (Cherchez Charlie) :

-         Le meuble sur lequel la télé est posée est noir, comme le reste. En dessous il y a la ps2 et une bonne soixantaine de jeux (encore emballés -__-)

-         La pile de DVD d’apprentissage qui va avec les livres (on l’aperçoit près du mac posé un peu plus loin sur le bureau) Il y en a 40 en tout, j’ai juste visionné 20 minutes du premier.

-         La souris de l’ordi qui est glissé dans la petite encoche dans le pilier qui soutien l’écran, juste en dessous des livres. Je la coince la parce que comme elle est sans fil j’ai trop peur de la perdre quand il commence à y avoir du bordel.


Oui donc je disais que je travaillais très dur. Le puzzle c’est pour développer ma patience et ma concentration (mais oui) Mais la je suis plus frustrée qu’autre chose parce que j’ai perdu le modèle >__< Je me souviens juste que c’est Porcinet qui est sur Bouriquet qui est sur Tigrou qui est sur Winnie dans un décor de prairie ensoleillée.


Et voila donc mon lit Queen size ^o^ ! Avec ses draps poppy-toffee ! Ralala si vous saviez… c’est un bonheur de se rouler dedans pendant les gras’mat’.


Derrière les rideaux, il y a une moustiquaire, des barreaux de sécurité (anti voleurs parait il, maman est parano) et ensuite il y a la fenêtre, qui elle est toujours ouverte. Le vent se glisse de temps en temps a travers et fait doucement bouger les carillons. Comme j’ai pas de volets les rayons du soleil filtrent a travers et teintent ma chambre de bleu hyper zen pendant la journée. Je crois que c’est la seule explication que je trouve pour mes siestes hautement crapuleuses.


Matez un peu l’ambiance quand on a tamisé la lumière…

Pour ceux avec qui je discute sur msn, c’est de la que je vous tape mes messages, assise en tailleur, un des coussins sur les genoux et un verre de jus de goyave d’Ice Tea posé à coté de l’ordi.


Aller, on finit la visite sur une note plus marrante. Voila ce que je vois quand j’ouvre le porte de ma chambre ; la table de billard (sous son linceul drap protecteur) Et imaginez moi a 5 heures du matin, j’ai encore les crottes d’oeils plein les yeux et le soleil est pas encore levé alors je vois rien et je me prends le bord de la table de billard dans le ventre au moins 2 jours par semaine quand je veux aller a la salle de bain…

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3 janvier 2009

Ceci est juste un test

Ca ressemble a LiveJournal quand meme cet interface...




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